Fausse couche et médicaments

Traduction automatique d’un communiqué sur les dangers des médicaments qui bloque l’acide folique.

Le fait d’utiliser un médicament qui réduit ou bloque l’action de l’acide folique au cours du premier trimestre de la grossesse (semaines 1-12), augmente le risque d’anomalies. Cette conclusion a été proposé par une équipe de professionnels (pédiatres, obstétriciens, gynécologues, etc.) qui ont étudié de nombreuses naissances et des données sur les avortements recueillies en Israël entre 1998 et 2007.

Étude sur 84 832 bébés nés au Centre médical de Soroka, à Beer-Sheva, Israël. Elle a été réalisée dans le cadre de la thèse de doctorat de Mgr. Ilan Matok, supervisés par des chercheurs principaux Dr Amalia Levy et le professeur Rafael Gorodischer de Ben-Gurion University du Negev en Israël, en collaboration avec la Division de pharmacologie clinique, Hôpital pour enfants malades de Toronto, au Canada.

«Après avoir étudié les données, nous avons conclu que l’exposition au cours du premier trimestre d’ antagonistes de l’acide folique est associée à un risque accru de fermeture du tube neural, cardiovasculaire et anomalies des voies urinaires», explique pédiatre Rafael Gorodischer.

Les professionnels de santé encouragent désormais les femmes à prendre des suppléments d’acide folique ou manger des aliments enrichis d’acide folique si elles envisagent une grossesse ainsi que durant la grossesse précoce, car il est évident que cela réduit le risque de tout bébé résultant ayant des anomalies du tube neural et éventuellement d’autres anomalies congénitales (malformations congénitales).

Source : I. Matok, R. Gorodischer, G. Koren, D. Landau, A. Wiznitzer, and A. Levy; Exposure To Folic Acid Antagonists During The First Trimester of Pregnancy and the Risk of Major Malformations; British Journal of Clinical Pharmacology. (2009).